Dans cette nouvelle de Monique Proulx, on décrit «Ça», un personnage qu'on croirait inhumain en se fiant à la description qui est donnée. On dit qu'il pue et remue et qu'il jappe lorsqu'on lui demande les contenus de son sac. Par les contenus de ce sac vert (un sac à ordures) et par le fait que «Ça» est couché sur un trottoir, on peut déduire qu'il est question d'un sans-abri à Montréal. On dirait que Proulx essaie de nous montrer comment une grande majorité de gens perçoivent les sans-abris: des choses inhumaines, qui ont moins de valeur qu'un être humain. Lorsque l'auteur écrit «une photo de ça quand c'était humain et petit et que ça rêvait de devenir astronaute», elle dit que les sans-abris sont aussi des humains avec des rêves, mais qui ont rencontré des difficultés dans la vie et qui ne sont pas aussi chanceux que nous. La nouvelle est très courte, et se termine après la description des contenus du sac du sans-abri.
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